L’Association Saint Christophe réunit un groupe de catholiques qui veut, en plus de divulguer le message de Garabandal, emmener dans ce petit village élu du Ciel un maximum de pèlerins afin d’assister au Grand Miracle annoncé là-bas par Notre Dame du Mont Carmel.

Quelle que puisse être votre tendance au sein ou hors de l’Eglise Catholique, que vous soyez sédévacantiste, traditionaliste, conciliaire, pro ou antipape, charismatique ou adepte de telle ou telle âme se prétendant privilégiée ou d’un lieu de pèlerinage non reconnu, vous serez les bienvenus dans nos cars pour le Grand Miracle.

Les non catholiques seront aussi acceptés dans nos cars puisqu’ils reviendront de là-bas convertis et retrouveront donc ainsi le chemin de l’Eglise Catholique, fondée par Notre Seigneur Jésus Christ.

Ce n’est pas en jetant un anathème à celui qui ne pense pas comme nous que nous réussirons à le convaincre de rejoindre nos rangs. Dites-vous bien qu’après avoir contemplé la Puissance et la Gloire de Dieu, nous reviendrons forcément tous d’accord…

C’est le Bon Dieu qui aura le dernier mot ! Pas vous ! Ni nous…

Avant de rejeter ceux qui ne pensent pas comme vous, songez qu’au moment de l’Avertissement, nous serons tous mis face à nos péchés et à nos erreurs par notre créateur et qu’il ne nous restera plus alors qu’à plier l’échine et reconnaître nos torts.

Comptez-vous à ce moment-là persister dans vos propres égarements ?

N’étant que de simples mortels, ne nous prenons pas pour le Saint Office et si telle ou telle âme se prétendant privilégiée nous sied plus particulièrement, parce qu’elle parle bien, que ce qu’elle nous dit fait plaisir à nos oreilles, cela ne veut pas dire pour autant que ce soit œuvre de Dieu. Réfléchissez donc bien avant de vous emballer !

Satan, maître actuel du monde, peut opérer des guérisons pour mieux nous tromper, il peut même aller jusqu’à inciter des conversions pour mieux induire les gens en erreur. C’est Dieu qui nous jugera, pas les hommes… Heureusement pour nous…

Le Message de Garabandal est en plein accord avec les enseignements de la Bible et de l’Eglise.

Si l’on vous dit autre chose ailleurs, ce ne peut être œuvre de Dieu, car il n’y a pas 2 vérités !

Les messages parlent d’eux-mêmes. Et ceux qui essaient, d’une façon ou d’une autre, de les « bricoler » pour arranger leurs petites combines – Dieu sait s’il y en a légion qui tentent de se justifier par ce biais – se casseront les dents sur les cailloux de la « Calleja » sans que l’on ait à tenter quoi que ce soit pour les contrecarrer.

Notre Dame du Mont Carmel est venue à Garabandal pour remettre les pendules à l’heure et nous dans le droit chemin.

En travaillant pour la cause de Garabandal, nous nous heurtons régulièrement à des personnes ou à des associations qui essaient de nous discréditer. Nous avons dû régulièrement faire du ménage au sein même de notre association. Si on vous dit du mal de Garabandal ou de nous, faites comme nous le faisons : Ignorez les critiques et priez pour nos calomniateurs afin que le Bon Dieu leur accorde la grâce d’être sur place pour assister à cet événement encore jamais survenu.

Et si un prêtre vous interdit de croire, d’aller et de propager le Message de Garabandal ?

Il n’en a absolument pas le droit, puisque Sa Sainteté Paul VI, 6 mois après avoir reçu Conchita au Vatican, a supprimé les canons 1399 et 2318 qui interdisaient de se rendre dans les lieux de pèlerinages non reconnus et d’en divulguer les messages. Donc, aucun homme d’église, fut-il évêque ou cardinal ne peut vous interdire de croire, de propager le Message ou de vous rendre à Garabandal.

L’évêque de Santander, à l’époque, a d’ailleurs précisé :

« Nous faisons remarquer que nous n’avons trouvé aucun motif de censure ecclésiastique portant à condamnation, ni dans la doctrine, ni dans les recommandations spirituelles que l’on a divulguées à l’occasion des faits de Garabandal, en tant qu’adressées à des fidèles chrétiens ; d’autant plus qu’elles contiennent une exhortation à la prière et au sacrifice, à la dévotion eucharistique, au culte de Notre Dame sous des formes traditionnellement louables, et à la Sainte Crainte de Dieu offensé par nos péchés. Elles rappellent simplement la doctrine ordinaire de l’Eglise en cette matière… » (Note du 8 juillet 1965)