En 1975, lors de son voyage à Rome, Conchita s’entendit dire par le Cardinal Ottaviani –  en 1979 – pro préfet du Saint Office, de : « Beaucoup prier pour cette importante affaire qu’est Garabandal pour l’Eglise ».

En mai 1976, Don Valentin, curé de Cosio, se rendit à Rome une nouvelle fois, pour plaider la cause. Le Cardinal Seper lui a dit : « Garabandal est la plus belle chose qui soit ! »

Une enquête a été effectuée en 1988, et les conclusions ont été remises au Saint Siège. Contrairement à ce que certains affirment, Garabandal n’a jamais été condamné par l’Eglise. Le dossier est sous le coude à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi car l’Eglise ne peut reconnaître une apparition annonçant un miracle tant que celui-ci n’est pas survenu, en toute logique…

En 1991, l’interdiction faîte aux ecclésiastiques de se rendre et de célébrer la messe au village a été levée.

Les apparitions et le Message de Garabandal sont l’ultime espoir du catholicisme.

La Vierge, Elle-même, l’a bien démontré en faisant chanter aux petites voyantes, en août 1961, en français, alors qu’elles n’en connaissaient pas le moindre mot, le cantique de Pontmain :

Espoir, espoir, au Ciel étoilé,

paraît et sourit Notre Mère,

Espoir, espoir, Marie a parlé,

son Fils entend notre prière.

Marie, Notre Mère, est bien la Mère de l’Espérance, dont le nom est si doux, tant invoquée à Pontmain… 

Près de chez nous…

Je terminerai ma conclusion en reprenant celle de l’éditorial de l’Abbé de Bailliencourt, dans l’Appel des Pins n°28 de juillet 1976 :

« Dans ce petit village espagnol des monts cantabriques,par l’intermédiaire de 4 fillettes incultes, précédée de Saint Michel Archange, Prince des armées célestes, Notre Dame du Mont Carmel (la Vierge du Commencement, la Vierge de la Fin) est venue nous révéler : 

Ce plan divin, ce dessein éternel, cette gigantesque et grandiose fresque divine qui voit le peuple de Dieu (l’Eglise) agrandi de toutes les Nations et, après l’épreuve purificatrice qu’Elle annonce, vivre en Paix sous le Règne du Christ-Roi, puis s’élancer vers son époux pour les Noces Eternelles !

Voilà la grandeur unique, le Mystère de Garabandal ! »

La dernière parole de Notre Dame du Mont Carmel, à Conchita, a été :

Tu ne me verras plus ici, mais je serai toujours avec toi, et avec tous mes enfants ! 

Que demander de plus à Notre Bonne Mère du Ciel ?

Par Garabandal, le Bon Dieu va bientôt venir nous mettre aux pieds du mur. Nous n’aurons plus alors que 2choix possibles :

  • Soit nous soumettre à la volonté divine et gagner ainsi notre Paradis
  • soit rejeter Dieu et en assumer les conséquences 

La balle est dans notre camp… A nous de la faire rebondir !